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En vers et contre toutes

Ces poèmes en vers (sonnets, pantoums, ballades, etc.) sont ceux du désespoir, de la haine, du dégoût d’une femme bien que parfois l’amour ne soit jamais très loin prêt à resurgir. Ces poèmes revisitent quelques mythes (Don Juan, Orphée, Jason, Amphitryon, Phryné, Cendrillon, Esméralda, Schéhérazade, Robinson Crusoé, Pâris, Prométhée, le péché originel, etc.), s’élèvent contre la guerre, la mort, la cigarette, la bêtise des hommes, la prostitution, la douleur, la souffrance, la solitude, l’éloignement, la rupture amoureuse, les sentiments, la fuite du temps, les errances, la condition du poète, la nature et les rêves. En définitive ces poèmes en vers ne sont pas contre toutes mais sont bel et bien un hymne à la femme et un hymne à l’amour.

Recueil salué par la critique en 2001.

format 14 x 22,5 cm, 158 pages
 Ma nature se meurt elle n’est plus en fleur
 Mon harmonie brisée a semé le brouillard 
 Qui transforme mon corps en un vaste trou noir
 Je suis perdu sans fin au milieu de mes heurts
 

 Mon harmonie brisée a semé le brouillard
 Poète dans l’âme sur la terre rêveur
 Je suis perdu sans fin au milieu de mes heurts
 Je cherche mais en vain celle perdue un soir
 

 Poète dans l’âme sur la terre rêveur
 Ma vie s’est oubliée dans son charnel nectar
 Je cherche mais en vain celle perdue un soir
 C’est depuis des heures où j’évite ses leurres
 

 Ma vie s’est oubliée dans son charnel nectar
 Le tiroir du néant est ma simple demeure
 C’est depuis des heures où j’évite ses leurres
 Ma vie et le monde ne sont que des miroirs
 
© Alexandre ROGER, En vers et contre toutes
format 14 x 22,5 cm, 162 pages
 Des nuages pleurent dans mon cœur amoureux
 Comme des yeux divins que le chagrin atteint
 Sur l’oreiller mouillé par mes bras nus étreint
 Des larmes crues s’enfuient d’un regard langoureux
 

 Des nuages pleurent dans mon cœur malheureux
 Sur la vitre glacée que la pluie transperçait
 Comme une ombre sombre qui la nuit transparaît
 Des larmes crues s’enfuient d’un regard chaleureux
 

 Comme un rêve lointain qui dans le ciel affleure
 Des nuages pleurent dans mon cœur monotone
 Des larmes crues s’enfuient d’un regard de l’automne
 Qui attend le printemps et ses filles en fleur
 
© Alexandre ROGER, En vers et contre toutes
format 15,2 x 22,9 cm, 154 pages
 Elle était un rêve rouage des espoirs
 Oublié par hasard au plein jour des dilemmes
 Et je m’imaginais un ange aussi suprême
 Mais il disparaissait au milieu de l’histoire
 

 Oublié par hasard au plein jour des dilemmes
 Un amour sincère naissait dans ma mémoire
 Mais il disparaissait au milieu de l’histoire
 Comme un graveur de nuit d’estampe et de poème
 

 Un amour sincère naissait dans ma mémoire
 Et je le travaillais pour en faire un emblème
 Comme un graveur de nuit d’estampe et de poème
 Car ce trait se figeait comme elle dans le noir
 

 Et je le travaillais pour en faire un emblème
 Ce cierge idéal devenant un brûloir
 Car ce trait se figeait comme elle dans le noir
 Près mais si lointaine pour lui dire je t’aime
 

 Ce cierge idéal devenant un brûloir
 J’attendais sa flamme comme pour un baptême
 Près mais si lointaine pour lui dire je t’aime
 Elle était un rêve rouage des espoirs
 
© Alexandre ROGER, En vers et contre toutes
  • Edition de 2001 indisponible à la FNAC.
  • Edition de 2001 indisponible sur Amazon.
  • Réédition de 2006 disponible sur Amazon au format broché et ebook.
  • Réédition de 2019 disponible sur Amazon au format broché et ebook.

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